Le BioParc de Doué-la-Fontaine se prépare à accueillir des okapis
Depuis quelques jours, le BioParc-Zoo de Doué-la-Fontaine (Maine-et-Loire) bénéficie d’un site internet entièrement rénové. L’adresse demeure inchangée : www.bioparc-zoo.fr (voir les liens de ce blog).
Si le parc a fermé ses portes jusqu’au samedi 11 février, l’année nouvelle s’annonce riche en changements au sein de cet établissement inauguré le 14 juillet 1961.
Pavel, le lynx mâle, dans sa caisse de transport (Photo BioParc de Doué-la-Fontaine).
D’ores et déjà, plusieurs pensionnaires ont quitté le parc. Le couple de lynx européens (Lynx lynx) a ainsi été transféré au Parc animalier des Pyrénées (65). Pavel, le mâle, était élevé au Bioparc depuis 2005. La femelle, Tara, avait rejoint le BioParc au cours de l’été dernier.
De son côté, Paloma, panthère de Perse (Panthera pardus saxicolor) âgée de 16 ans, a quitté Doué pour le refuge de l’Arche, en Mayenne. Arrivée en 1997 au BioParc, Paloma a mis bas pour la première fois en 2002. Les quatre petits auxquels elle a donné naissance durant son séjour dans le Saumurois ont été confiés à divers établissements zoologiques de France, Bulgarie et Russie.
En orange, l'emplacement de la première carrière.
Par ailleurs, d’importants travaux sont en cours dans la première carrière du parc. Celle-ci va être remodelée afin d’accueillir de nouveaux pensionnaires originaires des forêts équatoriales d’Afrique centrale. Si rien n’est vraiment officiel, la rumeur insistante annonce l’arrivée, pour ce printemps, de deux okapis (Okapia johnstoni). Une cohabitation avec d’autres d’espèces est-elle prévue ? Et si oui, lesquelles ? Pour l’heure, mystère. Mais pour qui connaît la qualité et de l’originalité des dernières installations du BioParc (enclos de loutres géantes, vallée des rhinocéros noirs, volière sud-américaine…), nul doute que ce nouvel espace deviendra une référence.
Vue de la carrière depuis l'étage supérieur du BioParc (Photo Ph. Aquilon).
La cascade située au fond de l'actuelle carrière (Photo Ph. Aquilon).
Avant son actuelle refonte, la carrière abritait notamment un enclos pour tortus terrestres (Photo Ph. Aquilon).